Suite aux heurts entre les militants de la coalition Samm Sa Kaddu et ceux de Pastef à Saint-Louis (nord) lundi-soir, Ousmane Sonko a directement accusé Barthélémy Dias "d'avoir incité à la violence", le menaçant de représailles. Il a également appelé ses partisans à se mobiliser et à exercer leur «droit de riposte», condamnant l’inaction de l’État face aux agressions répétées contre son parti.
Face à ces menaces, la coalition Samm Sa Kàadu a répliqué, qualifiant les propos de Sonko «d’appel au meurtre». Elle tient le leader de Pastef pour responsable de toute violence à venir contre leurs membres et interpellent les autorités et la communauté internationale pour une intervention urgente.
« Il n'y a pas d'autre possibilité que la mort pour empêcher la coalition Samm Sa Kàadu de faire campagne, conformément aux dispositions de la loi. Ousmane Sonko, dévoré par la peur de la défaite, tente désespérément de museler la démocratie en tentant d'instaurer un climat de terreur. La coalition Samm Sa Kàadu tient Ousmane Sonko pour responsable de tout ce qui pourrait arriver à ses membres, ses militants, ses sympathisants. et ses électeurs. Samm Sa Kàadu interpelle le président de la République, la communauté internationale à savoir la CPI, l'Union européenne et le Quai d'Orsay sur cette déclaration grave de Ousmane Sonko », a annoncé Barthélémy Dias.
Malgré les tensions, ce dernier a affirmé qu'il ne cédera pas face aux menaces. «Aucune personne ne peut arrêter ma campagne électorale», a-t-il affirmé avec détermination. Pour lui, cette campagne est "un engagement envers ses convictions, et il est résolu à poursuivre ses activités électorales malgré le climat explosif."
Ousmane Sonko et Barthélémy Dias sont attendus demain mercredi à Dakar.
Face à ces menaces, la coalition Samm Sa Kàadu a répliqué, qualifiant les propos de Sonko «d’appel au meurtre». Elle tient le leader de Pastef pour responsable de toute violence à venir contre leurs membres et interpellent les autorités et la communauté internationale pour une intervention urgente.
« Il n'y a pas d'autre possibilité que la mort pour empêcher la coalition Samm Sa Kàadu de faire campagne, conformément aux dispositions de la loi. Ousmane Sonko, dévoré par la peur de la défaite, tente désespérément de museler la démocratie en tentant d'instaurer un climat de terreur. La coalition Samm Sa Kàadu tient Ousmane Sonko pour responsable de tout ce qui pourrait arriver à ses membres, ses militants, ses sympathisants. et ses électeurs. Samm Sa Kàadu interpelle le président de la République, la communauté internationale à savoir la CPI, l'Union européenne et le Quai d'Orsay sur cette déclaration grave de Ousmane Sonko », a annoncé Barthélémy Dias.
Malgré les tensions, ce dernier a affirmé qu'il ne cédera pas face aux menaces. «Aucune personne ne peut arrêter ma campagne électorale», a-t-il affirmé avec détermination. Pour lui, cette campagne est "un engagement envers ses convictions, et il est résolu à poursuivre ses activités électorales malgré le climat explosif."
Ousmane Sonko et Barthélémy Dias sont attendus demain mercredi à Dakar.
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